Le ski, c’est un sport d’hiver, de luxe et élégant, car tout est cher dans la montagne.
Dans Friends, pour un Noël ou un Thanksgiving, une fête étrangère hivernale, Rachel, qui vit dans un monde parfait, voulait faire du ski avec sa famille. Cette Rachel, aimait le ski, était très contente. C’était une de mes impressions sur le ski.
Quand les copains commençaient à planifier ce projet, j’ai refusé. Après, un tonton qui a un appartement dans la montagne pouvait nous le louer à un prix raisonnable, et on pouvait partager les frais, j’étais contente d’aller au ski.
Selon le plan, Mat devait nous chercher avec la voiture de son papa. Grosse Tête proposait que Mat nous prenne après Charlie, comme ça, on pouvait dormir plus tard. Mais pour moi, je m’attends à dormir pendant tout le voyage, je dors toujours sur tous les moyens de déplacement, sauf en vélo. C’est bizarre que le dieu m’a donné ce talent, je peux dormir n’importe ou, mais j’ai un autre talent, je peux que m’arrêter avec mes fesses quand je fais du ski.
Je voulais bien m’acquitter de ma responsabilité dans la voiture, mais je ne sais pas conduire. Je pouvais leur dire des blagues pour les amuser, mais je ne parle pas Français.
A la fin, j’ai décidé de garder le silence, parce que Grosse Tête m’a critiqué, ‘la seule personne qui ne sait pas conduire est en train de commenter notre façon de conduire.’
Donc, Mat conduisait et discourait, Grosse Tête lui répondait, Charlie mettait sa tête dans le nuage, j’essayais de dormir.
Ensuite, on est arrivés à la ville de tonton, c’est l’heure de chercher où manger. On a choisi un restaurant situé sur une petite place, et puis on s’est assis, après quelque temps, un serveur est venu pour demander si on boit du café ou on veut manger. On devait entrer pour manger. Trois français ne savaient pas la règle de ce restaurant français.
J’ai pris un siège dans l’ombre, Mat préférait celle ensoleillée. Il voulait expliquer pourquoi il aime le soleil, mais il n’a pas trouvé le mot opposé à vampire. Trois français ont choisi des plats qu’ils connaissaient bien, j’ai choisi un plat que je croyais connaître, c’était un plat de ‘légumes frits d’Asie’. C’était ici que la vie m’a enseigné encore une fois que le plat local est toujours plus sûr.
Quand on est arrivés à la ville de montagne, Métabief, il déjà faisait noir. Le bâtiment où l’on habitait s’appelait ‘belle parallèle’. Son ascenseur tout rouge s’étendait sur 0.5 mètre carré, et il y avait un grand miroir dedans. Je ne pensais pas que c’était nécessaire de mettre un miroir ici pour faire un effet de 1 mètre carré.
On était 4 personnes et 8 valises, on mettait tous dans l’ascenseur. Quand on repartait, l’ascenseur ne voulait pas tous prendre à une fois, donc Mat prenait deux valises à la voiture, Charlie prenait deux valises vers l’escalier, je poussais Grosse Tête et des valises dans cet ascenseur, et je prenais les derniers trucs vers l’escalier.
L’appartement était un loft, romantique. Et moi, une personne logique, a choisi une chambre en bas, la raison était qu’elle était plus près des toilettes. La cuisine et les toilettes étaient petites, j’étais choqué. Je croyais qu’en France, toutes les pièces d’un logement étaient grandes. Mon esprit était étroit. Et puis, on s’est mis sur les chaises devant la télé, donc on est venu pour les programmes ?
Oui, les gars m’ont répondu avec leurs comportements.
Le premier jour, on a fait du ski de fond, les pointes de chaussures étaient fixées sur le ski, ça s’appelle du ski nordique. Si les pointes et les bouts de chausseurs tous étaient fixés sur le ski, ça s’appelle du ski alpin, même on ski sur le pied d’une montagne voisine de cousine de Alpes.
On commençait le ski nordique à partir d’après-midi, parce que les trois français s’occupaient de regarder une série le matin. La série s’appelait ‘Secrets de voisins’.
Ils étaient responsables quand même, m’ont expliqué trois fois avec deux langues comment faire du ski. Je voulais dire que ce n’est pas le problème de la langue, même en chinois, je ne pouvais pas y arriver. Donc peut-être que c’est le problème d’une autre région dans le cerveau à côté celle de la langue. Je faisais beaucoup d’effort, mais je n’arrivais pas à glisser. La piste était dans la forêt, il y avait des énormes arbres. A la fin après un virage, il y avait un grand arbre et sur le tronc, c’était un signe d’alerte, disant qu’il faut ralentir. J’ai eu le temps de le lire, parce que j’était la pendant 10 minutes. Le soir, j’avais mal partout, même dans la mâchoire inférieure, c’est-à-dire qu’il y a du muscle ici aussi.
Le lendemain, on faisait du ski alpin. Grosse Tête m’a accompagné quelque fois sur le pied. Il hurlait ‘arrête…arrête…arrête !’ Je comprenais bien le mot, c’était juste que mon corps ne comprenait pas. Après il est parti dans une autre partie de la montagne, j’étais paniqué. Si je me bloquais sur le télésiège, ou dans les arbres, ou sur le sommet, ça allait. Le pire, c’était si je me bloquais sur quelqu’un. Finalement, j’ai bloqué mes skis sur celles d’une petite fille, je l’ai regardé dans les yeux profondément, elle n’a pas pleuré, et sa mère ne pas m’a hurlé dessus. J’ai eu tellement de chance.
Après cet entrainement, j’ai réussi à me contrôler pour aller à gauche ou à droite. Mais je n’ai pas trouvé la méthode pour m’arrêter sans me servir mes fesses. Quel cerveau.
J’ai trouvé les secrets des enfants skieurs. Ils étaient comme des pigeons ronds, poursuivraient un entraineur, savaient comment aller à gauche, à droite, et s’arrêter. Leur secret est leurs centres de pesanteur sont bas.
Le dernier jour, on escaladait la montagne. On a vu un cerf, la montagne Jura, et sa voisine, les Alpes.
Les Alpes sont connues en Chine. Je ne sais pas pourquoi. Elles apparaissent dans le poème de Percy Bysshe Shelley. Elles ont été franchies par Napoléon. C’est une marque de bonbon. Pour ces raisons, les Alpes sont plus familières que le Jura.